Maxime' < sometimes, it's just what you need... >

MAXIME DAWSONS

joya ©

Pendant que j'y pense, avez-vous déjà remarqué comme c'est spécial le concept du prénom ? On en a chacun un, mais il est généralement différent. Personne n'a aucun prénom, c'est impossible quoi. C'est ce qui permet de nous différencier des autres après tout... En tout cas, moi je me nomme Maxime ou pour les plus pointilleux d'entre nous; Maxime Julian Dawsons. Par contre, je déteste mon second prénom, alors j'évite généralement d'en parler. Habituellement, on préfère m'appeler Max ou Dawsons. Ça dépend de la personne, en fait. Je suis né un dix-huit avril mille neuf cent quatre vingt huit, ce qui me fait un beau total de vingt deux ans. À c'qui se dit, je commence à me faire vieux, mais je préfère ne pas y penser. La vieillesse me tombera bien dessus un jour. Je suis né et j'ai vécu toute ma vie à Rosewood. Autant vous dire tout de suite que je n'ai jamais changé de pays, mais je m'en fou. Roosewood, ça marche bien pour moi. Mes origines ? J'imagine que je suis purement américain, puisque je n'ai jamais entendu parlé d'ancêtres asiatiques ou un truc du genre. En ce moment, j'étudie en musique parce que, oui, j'ai l'âge d'étudier en quelque chose. J'ai toujours adoré la musique, particulièrement la guitare. C'est une sorte d'amour éternelle entre elle et moi. Elle ne m'apporte que des avantages; elle me divertit, elle est agréable à entendre et elle constitue un atout incroyable auprès des femmes. (:

REMOVE YOUR MASK

“ pseudo/prénom - audrey (x
“ âge - quinze ans. (aa)
“ avatar - jared padalecki, ohhh oui.
“ présence sur le forum - quatre/sept.
“ suggestions/commentaires - franch'ment bravo, super forum. :D
“ où avez-vous connu PLL ? sur msn. (x
“ code du règlement - okaay SPENCER

THE SUN STILL SHINES TODAY

« Merde Ellie, tu fais chier. J’t’avais dit de ne pas prendre ce genre de conneries… » Le regard de Max croisa alors celui de la jeune femme. Elle lui fit un large sourire, ce qui déclencha aussitôt un long soupir chez le jeune homme. Ça se voyait, ça se sentait. Elle était carrément redevenue la droguée qu’il avait côtoyée beaucoup trop longtemps à son goût. Il alla s’asseoir sur le canapé à côté d’elle et la regarda. Le regard d’Ellie, il se transformait. C’était ce qui le blessait le plus. Il avait l’impression de ne plus voir sa sœur lorsqu’il la regardait, mais une inconnue, une autre. Elle avait réussi à changé et à redevenir comme avant, mais, rien à faire, ça ne durait jamais plus d’un mois. Il savait c’était quoi le problème, il le savait depuis le début. C’était tout, c’était cette vie qu’ils vivaient depuis bien trop longtemps, c’était ses parents, peut-être même que c’était un peu lui. Il passa sa main dans les longs cheveux bruns de la jeune fille et appuya sa tête contre le canapé. Il se laissa alors plonger dans le pays des rêves, là où tout est parfait.

Lorsqu’il ouvrit les yeux le lendemain, il trouva sa sœur contre son torse. Elle ne dormait pas, il le savait à sa respiration si peu régulière. Par automatisme, il passa sa main dans ses cheveux. Il adorait les cheveux longs, c’était tellement agréable de passer sa main dedans. « M’en veut pas, Max, je n’ai pas fait exprès… » entendit-il marmonner. Elle releva le regard et le regarda. Elle pleurait. Les larmes de sa sœur déchirèrent le cœur du jeune homme qui serra aussitôt la jeune femme contre lui. Il la tenu contre lui un bon deux minutes, il cherchait les mots pendant ce temps. Il ne savait tellement pas quoi dire lorsque ça arrivait, c’était comme se retrouver dans un brouillard total. Il serra la main d’Ellie lorsqu’elle se recula un peu et la regarda dans les yeux, encore une fois. « Parle-moi Ellie, j’t’en prie. J’pourrais peut-être t’aider ? Laisse-moi t’aider, s’il-te-plait. J’veux pas qu’ça aille trop loin toute cette histoire, j’le supporterais pas… » C’était dans ces moments qu’il s’en apercevait, qu’il se rappelait tout ce qu’il ressentait pour elle; sa sœur. Elle était une partie de lui, il l’avait vu grandir. On les disait trop jeune pour comprendre, pour ressentir, pourtant, jamais il n’avait autant aimé quelqu’un. Cet élan de protection, c’était plus que de l’amitié, c’était de l’amour fraternel. La voir qui tentait de gâcher sa vie ainsi, il en souffrait lui-même. Elle était devenue une blessure à son cœur et, pourtant, il continuait de l’adorer. Mais il ne pouvait que la comprendre, leurs parents ne donnaient tellement pas l’exemple. Jamais présents, avaient-ils déjà passé plus d’une heure avec eux ? C’était une question qui lui revenait souvent en tête. Il savait que c’était cela qui avait déclenché tous les problèmes, tous. Soudain, Max revint sur terre, la voix enrouée de sa sœur résonna dans la pièce. Des mots, ce n’était que des mots et, pourtant, il se sentit atrocement heureux de voir sa sœur se confier enfin à lui…
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« Attends, répète-moi ça ? Ohhh non ! Laisse tomber, je ne crois pas que je supporterais d’entendre ça encore. » marmonna Max, plus pour lui-même que pour d’autre. La tête posée entre les mains, les coudes posé sur les genoux et assis sur un sofa d’une maison où il ne se rappelait même pas d’avoir déjà mit les pieds, il désespérait. Pourquoi moi ? était la pensée qui jouait en boucle dans sa tête. Il avait carrément senti le vide sous ses pieds lorsqu’elle avait prononcé cette phrase fatale; ‘Je crois que je suis enceinte… de toi.’ C’était la mort, si quelqu’un venait à apprendre ça… Après tout, il ne l’aimait même pas tant que ça cette fille. Il était complètement bourré lorsque s’était arrivé et c’était à peine s’il se rappelait de quelque chose. Il observa le regard de la jeune femme, enceinte maintenant. Elle semblait tout autant désemparée que lui. Il ne savait plus quoi faire, il ne voulait pas fuir, mais en même temps… Quelle autre option lui restait-il ? Le silence le plus complet envahi la pièce. Chacun de son côté réfléchissait…

« Et tu as une idée ? Tu veux faire quoi avec… ? » demanda le jeune homme pour briser le silence. Pouvait-il dire que s’était leur enfant ? Non. Ce serait un plan pour qu’il s’attache à ce bébé, il ne fallait pas qu’il s’y attache. Ils étaient tous les deux trop jeune pour avoir un enfant sur les bras. Ils ne leur restaient que deux solutions censés être responsable; l’avortement ou l’adoption. Il n’avait pas envie de choisir, puis ce n’était pas lui qui avait ce bébé dans le ventre quoi. Et, d’ailleurs, est-ce que l’avortement était légal aux États-Unis ? Il ne le savait même pas… Comme pour atteindre le comble du malheur, il vit des larmes naissantes aux yeux de la jeune femme. Incapable de bouger, il resta complètement muet. « Je crois que je préfèrerais le faire adopter, tu comprends… » Sérieusement ? Il ne comprenait pas le moins du monde, mais il hocha la tête quand même. Il savait que jamais personne ne serait au courant de ce qu’il venait de se passer; personne. En un simple regard, il avait compris qu’elle ne voudrait pas partager tout ça non plus. Comment elle allait faire pour cacher sa grossesse ? Aucune idée. Lorsqu’il sortit de cette maison plus autant inconnue, il se promit de ne pas la laisser tomber. Ce serait difficile, mais il n’allait pas lui faire ça, ce serait injuste…
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« Ahh non, je t’en prie, ne part paas ! » gueula Max, l’air faussement suppliant. Le jeune homme roula des yeux et le brun lui fit un énorme sourire. « Moi aussi, je t’adore, passe une belle journée, mon chéri. » enchérit-il ensuite avant de lui faire au revoir de la main. Le mec le regarda comme s’il sortait d’un asile et sortit de la pièce. Son copain rigola bien de la blague et Max garda le sourire. Il s’était réveillé du bon pied ce matin, assez en tout cas pour parler à un inconnu comme s’ils étaient fiancés. En fait, c’était pas mal la manière générale de vivre de la part du jeune homme. Heureux, était-ce réellement possible dans ce monde ? À ses yeux; oui. Bon, il s’était disputé le week-end dernier avec Hannah et il ne l’avait pas revu depuis, mais c’était une toute autre histoire et il tentait de ne pas trop y penser pour ne pas se gâcher le moral. Max remarqua alors quelqu’un qui arrivait vers eux d’un pas pressé et plutôt nerveux. Il reconnut aussitôt Darren, un copain qui travaillait au café où ils étaient, il lui fit son plus grand sourire.

« N’essais surtout pas de m’amadouer ! Tu veux me faire virer ou quoi ? Ce mec, c’est un de nos clients les plus fidèles, s’il dégage à cause de toi, j’suis fichu quoi… Puis, j’pari qu’le patron voudra plus que tu te pointes, c’est c’que tu veux ? » Le jeune homme fit la moue, mais promit d’arrêter d’embêter les inconnus. Il adorait ce café, il n’allait quand même pas laisser tout tomber pour ça ! Il prit son café et l’approcha à ses lèvres en regardant autour de lui. Une pensée lui venait en tête; il ferait mieux de partir et d’aller travailler rien qu’un peu. La musique, ce n’était pas ce qui en demandait le plus, mais quand même. La honte, s’il n’arrivait pas à passer le semestre ! Pourtant, il n’arrivait pas du tout à se convaincre de partir. Ahh, ce que c’était dur la vie ! Le regard du jeune homme croisa alors celui d’une femme derrière. Il tomba aussitôt sous le charme et oublia toute histoire d’université ou de café. Il parla de ses plans à son ami avant de le laisser tomber pour aller à la table de cette femme au regard si envoûtant. La première chose qu’il fit, c’est l’inviter. Max lui proposa de sortir le soir même et, allez savoir, elle accepta. Ils se donnèrent rendez-vous et le jeune homme partit ensuite avec son café. Son copain vint le rejoindre en chemin et ils se rendirent Dieu sait où…

bienvenue sur PLL ! bonne chance pour ta fiche ! (:
j'en connais une qui va être contente de voir son scénario débarqué

JAAAAAAAARED. MON MAAAAAAAAAAAARI.

IL ME FAUDRA ABSOLUMENT UN LIEN DE LA MORT QUI TUE.
Bonne chance pour ta fiche. (aa)

ahaa, mercii vous quatre.
& puis Ryan, j'dirai pas non à un lien d'la mort qui tuue.

ohlalaaa.
rejoins-moi dans ma chambre à 22heures (aa)

Compte sur moi, Ryan, compte sur moi. (aa)
Mercii Hannaah, ouuais. (x

J'crois que j'ai fini ? Je m'demandais si je devais envoyer mon secret maint'nant ou attendre d'être validé ? (: